Ce matin j'ai ma chef qui me téléphone, elle est clouée au lit et ne pourra pas assurer sa journée, en revanche elle a un cours à 9h et je dois ouvrir la salle aux étudiants pour qu'ils puissent travailler leur projet.
Je passe à 8h45, espérant avoir au moins un étudiant qui erre dans le couloir en attendant que la porte s'ouvre. Que dalle.
8h50, 8h55 rien. je retente ma chance à 9h02, je suis bloqué par d'autres autochtones et je vois quelques étudiants un poil mécontents. Je me débarrasse tant bien que mal des bloqueurs pour arriver à mes mécontents qui tentaient de descendre pour partir ? En tout cas il prenaient le chemin de la sortie.
Je leur explique le problème et je leur demande s'ils ne sont que ... 4.
- Non, on est 20. Me dit une des étudiantes.
J'ouvre la salle et les laisse à leur triste sort. Snif...
Je repasse pour leur donner une dernière recommandation que j'avais totalement zappée et une étudiante arrive au même moment.
Ils sont 5 maintenant ! Le seul gars du groupe l'interpelle :
- Tu viens pour peu de chose
- Ha ! Elle est pas là.
Je suis passé une heure après et j'ai constaté qu'ils étaient 6. Dire qu'elle m'avait dit au téléphone qu'ils étaient autonomes et bosseurs.
Encore une heure après, je vais dire qu'ils étaient 8-9. J'y suis retourné peu après midi, il n'y avait plus personne mais la porte était grande ouverte, deux ordinateurs allumés; point positif la lumière était éteinte.
Sinon y en a un qui devrait faire une drôle de tête en lisant ses mails.
Je crois que ça doit faire trois fois de suite qu'il laisse tout allumé, manque de bol pour lui en plus de l'ordinateur c'était sa messagerie qui était ouverte.
Quand il verra un mail dont il est destinataire et l'expéditeur, ça devrait le chiffonner un petit peu. Dire que j'avais de quoi faire un bon massacre à l'intérieur de sa messagerie. L'inconscient...
Wait & see...
Je passe à 8h45, espérant avoir au moins un étudiant qui erre dans le couloir en attendant que la porte s'ouvre. Que dalle.
8h50, 8h55 rien. je retente ma chance à 9h02, je suis bloqué par d'autres autochtones et je vois quelques étudiants un poil mécontents. Je me débarrasse tant bien que mal des bloqueurs pour arriver à mes mécontents qui tentaient de descendre pour partir ? En tout cas il prenaient le chemin de la sortie.
Je leur explique le problème et je leur demande s'ils ne sont que ... 4.
- Non, on est 20. Me dit une des étudiantes.
J'ouvre la salle et les laisse à leur triste sort. Snif...
Je repasse pour leur donner une dernière recommandation que j'avais totalement zappée et une étudiante arrive au même moment.
Ils sont 5 maintenant ! Le seul gars du groupe l'interpelle :
- Tu viens pour peu de chose
- Ha ! Elle est pas là.
Je suis passé une heure après et j'ai constaté qu'ils étaient 6. Dire qu'elle m'avait dit au téléphone qu'ils étaient autonomes et bosseurs.
Encore une heure après, je vais dire qu'ils étaient 8-9. J'y suis retourné peu après midi, il n'y avait plus personne mais la porte était grande ouverte, deux ordinateurs allumés; point positif la lumière était éteinte.
Sinon y en a un qui devrait faire une drôle de tête en lisant ses mails.
Je crois que ça doit faire trois fois de suite qu'il laisse tout allumé, manque de bol pour lui en plus de l'ordinateur c'était sa messagerie qui était ouverte.
Quand il verra un mail dont il est destinataire et l'expéditeur, ça devrait le chiffonner un petit peu. Dire que j'avais de quoi faire un bon massacre à l'intérieur de sa messagerie. L'inconscient...
Objet : salle A1 rue tartempion
Bonjour Monsieur,
Merci d'éteindre le matériel après son utilisation.
Wait & see...
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