mercredi 14 janvier 2009

Bonne année...

Et mauvaise santé. Saleté de grippe qui arrive pile à me bloquer au lit pour la première journée de ma première semaine de boulot... Une semaine en arrêt.

J'étais content de reprendre le lundi suivant, j'en avais ras le bol d'être enfermé. Mon enthousiasme s'est estompé assez rapidement, une fois que je suis rentré dans mon bureau.

J'ai pu découvrir encore de la poudre de café autour de la poubelle, une très grosse tâche de café sur la moquette, deux magnétoscopes allumés, un autre magnétoscope débrancher et poser là où il ne fallait pas, ainsi que d'autres matériels ranger mais... pas à leur place.

Un joli cadeau pour me souhaiter la bienvenue.

Peu de temps après j'ai eu coup sur coup deux intervenantes qui sont venues se plaindre parce qu'elle n'avait pas la salle qu'elles voulaient. Le problème c'est que je ne suis pas la personne qui distribue les salles, en revanche je peux les aiguiller pour trouver la personne concernée. J'ai eu le plaisir de ne plus les voir.

La blague de l'année. Je me dirige à mon bureau et je vois trois andouilles qui attendent entre la porte de mon bureau et la porte d'une salle de cours. J'insère la clé dans la serrure de la porte et commence alors une sensation bizarre; comme si j'étais observé. Je me retourne et je vois que mes trois compères s'approcher de moi.
- Vous désirez quelque chose ?
- Ben oui, on veut rentrer dans la salle pour le cours.
- hmm ? Un cours ? C'est une blague.
- Non.

Je regarde ma porte et je retire le post-it collé dessus.
- Ceci est un post-it qui permet de dire où je me trouvais tout à l'heure.

Précision, le post-it ne cache aucunement le numéro de mon bureau. (en prime, le numéro est marqué deux fois sur la porte)

Y en a une dans le lot qui fait semblant de s'exciter, mais mon regard envoûtant la refroidie très vite. (tu continues et je te bouffe)
J'ai quand même été sympa je leur ai dit où se trouvait la salle qu'ils cherchaient, manque de bol pour eux il fallait descendre ce qu'ils avaient monté.

J'ai eu l'agréable surprise de constater que celui qui laissait tout allumé avait pour une fois tout éteint avant de partir, je crois qu'il a bien lu mon/son mail.(en bas)


Mardi, j'étais tout seul à mon étage et pas mal de peuple à graviter autour de moi.
On m'a fait le coup de la demande de dernière minute et comme je n'avais pas envie de courir, j'ai prétexté que je n'avais plus le matériel à disposition. Fallait prévenir avant. Toujours quelques uns à croire qu'en claquant des doigts ils obtiendront tout ce qu'ils désirent. Désolé pour eux, ou pas.

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